Moment de mélancolie [PV Spencer... la fille!]

Spencer entra dans la salle du foyer, son sac sur l'épaule. Ce dernier, tout déchiré dans un principe de mode, contenait les quelques effets scolaires qu'il possédait. Un vieil agenda, un étuit à crayon tout délabré, ayant servit l'année passée... ce qui voulait dire qu'il n'était plus en état. Tout ce qui restait en possession du jeune homme ne serait-ce que six mois devenait rapidement de vieilles ruines. Il n'était le gars le plus soigné avec ses trucs, et avait beaucoup de mal à garder en ordre ses effets personnels. Le sac contenait aussi une table à dessin qu'il avait transformé en tablette pour écrire. Bien sûr, il y faisait quelques fois des esquisses, mais il y écrivait plus souvent de ses lugubres poèmes.

Spencer n'avait jamais eu une vie facile, et maintenant qu'il s'en sortait plutôt bien, il pouvait prendre du recul pour en parler. Et sa meilleure façon de s'exprimer, c'était la poésie. Dans ses vers il racontait son enfance, la peur qu'il ressentait souvent, sa haine contre ses parents, son overdose qui avait raté, EUX, sa vie en centre... Tout son histoire y passait. Mais aussi ce qu'il ressentait pas à part aux autres élèves, sa grande méfiance qui l'empêchait d'être lui-même. Il agissait parfois comme un animal jadis blessé et qui plus jamais n'accordait sa confiance à personne.

Spencer alla s'asseoir près du feu qui brûlait dans la cheminée. Il aimait bien cet endroit. C'était un lieu tranquille où il pouvait s'empêcher de réfléchir. Réfléchir lui faisait trop mal. Le jeune homme avait toujours aimé le feu, et n'en avait jamais eu peur. Contempler les flammes lui donnait de l'inspiration. Il se mit donc les coudes sur les genoux et observa le feu, faisant le vide en lui. Nul ne peut savoir à quel point cet exercise lui faisait du bien. Il soupira de contentement et ferma les yeux. Après un moment de détente réparateur, il sortit sa tablette et un crayon. Il se mit à écrire. Les mots glissèrent aisément sur la feuille, comme un flot. Rien ne les retenait. Ses mots, témoignage d'une lourde vie et d'un âme écorchée par elle, étincellaient presque de leur rouge sur la feuille blanche.

Le visage de Spencer était fermé, concentré. Il était beau, en quelque sorte, même s'il ne s'en rendait pas compte. Pour lui, rien d'autre que sa poésie n'existait. Peut-être des élèves étaient entrés dans la pièce; il s'en foutait.

Spencer n'était jamais aller au foyer , elle y entra donc , vêti d'un simple jean et d'un T-shirt normal.Elle y rentra avec le sac sur le dos , en très bonne état tout comme ses affaires dont elle prenait bien soin.Depuis qu'elle était arriver ici elle n'avait pas fait tellement beaucoup de rencontre..Mais sa ne faisait pas des siècles qu'elle vivait ici alors il fallait la comprendre...Et puis se n'est pas si facile que se que les gens pensent de se faire de nouveaux ami(e)s , ou un amoureux..

Spencer était donc au foyer a présent , elle repenssait a son passé , qui n'avait été ni bien ni mal , sa famille était gentille , elle n'avait pas d'amoureux au passé , mais elle avait quand même beaucoup beaucoup d'ami(e)s ne seraisse que dans son lycée , mais aussi vers cher elle..C'était une fille populaire avant , mais maintenant , elle attend déjà de se faire des ami(e)s avant de passer a autre chose.Mais avant de venir elle avait décidée de faire confiance a plus de personne qu'a son passé , car avant elle ne faisait confiance a personne.

Spencer vit qu'il y avait une personne près du feu , elle alla donc vers la cheminée , s'asseya vers celui - ci , voyant qu'il était a fond dans ses feuilles et son crayon , très bizard fallait l'avouer.!
Spencer est une vraie trouillarde , en plus elle avait vraiment la faubbit du feu et de pleins d'autres choses aussi..Il fallait le dire , mais Spencer trouvait que le garçon devant lui était vraiment et réellement bizard..Elle ne voulait pas du tout critiquer mais elle disait la vérité.Mais en tout cas le jeune homme qui était " bizard" , était très beau fallait l'avouer..

Salut...

Rien ne pourrait déranger la concentration ultime de Spencer, sauf si on lui prenait son carnet des mains. Il était absorbé, presque en transe tellement il réfléchissait, il s'en était de peu pour qu'il commence à suer. Il n'était plus de ce monde, il était dans le sien, là où il pouvait se sentir bien. Ainsi, il ne pensait plus à sa vie de maintenant, mais plutôt à tout ce qu'il avait ressentit dans le passé. Il avait toujours refusé de se confier à qui que ce soit, par une sorte d'orgueil, ou de méfiance envers les autres. Il n'avait pas la capacité d'exprimer librement et de vive voix ce qu'il avait traversé. Ça lui était trop difficile. Mais écrire là-dessus, sur des tablettes que lui seul pourrait lire... C'était plus qu'acceptable. Et ça lui faisait un bien fou.

Ainsi, il n'entendit pas Spencer (la fille) entrer dans la pièce. Il n'avait même pas sentit sa présence, ni son regard. Habituellement, il traquait tous les regards qui se posaient sur lui, mais cette fois, il restait là, à écrire tranquillement. Il en avait oublié où il était, oublié le feu, le fauteuil, la fenêtre qui filtrait les derniers rayons de soleil de la journée. Il avait oublié qu'il se trouvait dans une école et qu'il s'y trouvait beaucoup d'élèves, tous vraiment différents. Il en oublia que lui-même était différent. Ce qui n'arrivait pas souvent.

Puis, à sa grande surprise, une voix vint le tirer de son travail. Une belle voix, féminine. Il leva donc la tête de son travail. Jamais, au grand jamais quelqu'un n'avait réussit cet exploit sans lui enlever sa tablette. Il l'bserva donc avec surprise. Elle était jolie. Une brunette, toute simple. Elle semblait avoir quelques années de moins que lui. Très beaux yeux, cela lui tappa dessus comme un fouet. Mais malgré tout, sa méfiance fit qu'elle ne put lui tapper dans l'oeil, ou l'intéresser. Après l'avoir dévisager longuement, il se demanda pourquoi lui adressait-elle la parole. Après une longue minute de silence, il dit finalement, d'un ton incertain:

"Euhm... Allo."

[ Je ne suis pas trop du genre a écrir des trucs giant comme sa moi Surprised

..]

Spencer trouvait bizard que le jeune homme n'avait aucune réaction , elle avait peur qu'il ai eut quelque chose , mais rien n'aurait pû lui arriver , il était seule avec son carnet entre les mains , bien sérrés , comme si il avait peur que l'on lui vole , Spencer avait l'impression que c'était se foutu carnet qui le mettait dans cet état , mais bon..

Spencer pensait encore plus que tout a l'heure a son passé car , fallait l'avouer mais Spencer[le mec] était donc a font dans son carnet , et bien la jeune demoiselle pensait a sa famille qui peut-être a se moment même envoi une lettre a leur jeune fille..Bref , Spencer essayait de tout oublier , le pasé , puis elle pensait a son futur , qui elle espèrait , sa passerait bien..Qu'elle serait heureuse , dans plusieurs sens biensûre..

Heureusement que notre jeune fille était la car , elle avait réussi a enlever le regard du jeune homme de sa tablette qui le rendait si hors sujet de notre monde..c'était un jolie garçon il fallait l'avouer..simplement simple , beau quoi..Spencer aussi se demandait pourquoi elle adressait la parole a un inconnu , un étranger , qu'elle ne connaissait même pas , enfin , cette jolie vrune elle était bizard , f'aut l'avouer..Puis celui - ci lui disa "Euhm... Allo. ".Pourquoi "Allô" ?? , Bref , Spencer la trouvait légèrement bizaroïde se mec..

Bonjour , je suis Spencer..tu es ?

[Ça t'en a prit du temps! Mais bon... je te réponds.]

Spencer... cette fille s'appellait Spencer? Il éclata de rire après un petit moment de silence à se répéter la première phrase dans sa tête. Il devait paraître un peu étrange de rire comme ça sans raison apparente. Lui qui avait parut si froid et fermé un instant auparavant riait à en avoir des crampes maintenant. Il semblait transformé. Cela faisait si longtemps qu'il avait vraiment rit. Cela lui fit un bien fou. Il ne se demanda plus pourquoi cette fille venait lui parler, il était seulement plus léger. La situation était vraiment comique.

Après sa "crise d'hystérie" il se reprit et la regarda avec un sourire. Étrangement, toute méfiance l'avait quitté. Il se dit qu'il devrait sûrement s'expliquer avant qu'elle ne le croit fou ou qu'elle s'en aille, blessée. Pourtant les mots lui manquèrent, car il avait toujours eu de la difficulté à parler aux autres, cela faisait partie de lui même. Il se força tout de même, car il trouvait qu'avoir le même nom, c'était bien partit pour se connaître.

-Il semblerait que nous ayons le même nom. Je suis Spencer aussi. Et ce n'est pas une blague.